Décès de Matthew Perry

Adieu Chandler !

C’est avec une profonde peine que nous venons d’apprendre le décès de Matthew Perry.
Il nous a donné tellement d’heures de rires. Merci.

En perpétuelle lutte depuis des années contre son addiction aux analgésiques et à l’alcool, son courage et sa détermination étaient sans faille.

Tu peux désormais reposer en paix Matthew.

Friends n’aura plus jamais la même saveur, mais conservera toute sa magie.

Arnaque sur RAKUTEN – Attention ! [coup de gueule]

Chers lecteurs,

Je prends la plume pour manifester ma colère contre un site réputé qui profite de failles dans leur procédure afin d’arnaquer les acheteurs.

J’explique.

J’achète un bureau sur https://fr.shopping.rakuten.com/ le 17 mai, ma confiance est de mise.
Confiance qui peut rester jusqu’à ce qu’il y ait un souci avec eux.

Je reçois ce bureau, carton abimé.
Lorsque je le déballe, bureau abimé.
Je demande un retour, entre le temps que VidaXL, énorme vendeur de meubles sur le net, accepte le retour et que je puisse programmer la reprise colis, un certain temps s’écoule, style 5 semaines au moins.

Donc un sav est ouvert sur Rakuten mais je n’avais pas fait attention, le sav se clôture, VidaXL est payé et je n’ai toujours pas de bureau.

Pas grave, VidaXL me demande remboursement ou échange, je redemande un échange.

Je reçois un autre bureau, plus de 8 semaines écoulées.
Carton comme neuf.
Je déballe, bureau encore plus fracassé.
Je demande alors un remboursement.

Rakuten refuse, délai de 6 semaines dépassé.
VidaXL refuse, car payé sur la plateforme.

Plus de 4 mois après, Rakuten ne répond plus. VidaXL me dit toujours la même chose :

Merci de votre message cependant, vous avez passé la commande et fait le paiement sur Rakuten, non pas sur vidaXL et la plateforme ne transmet jamais les informations de paiement des clients au fournisseurs.

Le remboursement a été transmis à Rakuen depuis le 25 juillet, alors c’est à eux de vous rembourser, car c’est eux qui ont vos informations bancaires utilisées pour faire le paiement.

Rakuten me répond toujours la même chose :

Nous comprenons le désagrément occasionné par cette situation, toutefois nous avons déjà répondu à votre demande.

Rakuten, en qualité de plateforme de mise en relation, intervient pour garantir votre transaction sur une durée de 6 semaines, la fin de cette période de 6 semaines marquant la responsabilité unique de votre vendeur.

Nous l’avons informé en ce sens et ne pourrons malheureusement pas initier d’autre action, ni nous substituer à ce dernier.

Nous vous invitons de ce fait à le relancer directement, le cas échéant de manière formelle, et vous indiquons à nouveau à cet effet les coordonnées dont nous disposons pour ce vendeur :

VidaXL VidaXL
Mary Kingsleystraat 1
5928 SK Venlo
Pays-Bas

Adresse e-mail : priceminister@vidaxl.fr
Tél. : 0182883778
Nous sommes navrés pour ce contretemps et vous remercions de votre compréhension.

Bilan, pas de bureau, et rakuten conserve mon argent.

Attention, Rakuten permet de voler ses clients.
Méfiance sur les délais !

J’invite au boycott franc et massif de ce géant qui se permet d’arnaquer les acheteurs.

10 000ème Article Blurayenfrançais

Chers lecteurs,

L’air de rien, en regardant les compteurs du site, je me suis aperçu que le 24 décembre, l’article du Joyeux Noël annuel était en réalité le 10 000ème.

Et puis, en m’intéressant de plus près encore, le 26 janvier 2023, nous célébrons les 15 ans de BREF.
Certes, des choses ont changé. Mais qu’est-ce qui ne change pas ?
Ne pas changer c’est stagner.

Alors, oui, j’assume, mon coeur premier va à nos chers Blu-ray mais mon amour du cinéma me fait savourer les oeuvres en visionnage dématérialisé également. Je privilégie désormais le contenu et mes envies.

Allez, on se dit rendez-vous dans un an pour les 16 ans.

Bonne journée
Faites vivre le cinéma et les Blu-ray, je compte sur vous.

DVDvision 2 Inspecteur Harry Clint Eastwood

“Vas-y aller ! Fais-moi plaisir !”
Pour son deuxième numéro, DVDvision met à l’honneur cette fois-ci Clint Eastwood et son personnage de l’Inspecteur Harry.

Précommandable ici : https://tinyurl.com/DVDvision2

Un mook exceptionnel de 132 pages !

Les 5 dossiers principaux du magazine, rédigés par David Fakrikian, sont consacrés aux 5 Inspecteur Harry : L’Inspecteur Harry (1971), Magnum Force (1973), L’Inspecteur ne renonce jamais (1976), Sudden impact (1983), La dernière cible (1988), et à leurs films doubles : Un frisson dans la nuit (1971), Le canardeur (1973), L’Épreuve de force (1977), La corde raide (1984) et Bird (1988).

Recherche Vendeur Amazon

Chers lecteurs,

Je recherche un ou des vendeur(s) qui utilisent le système Amazon Prime pour vendre ses Blu-ray.
N’hésitez pas à me contacter à :
cedric@blurayenfrancais.com

Je souhaite une collaboration.

Merci par avance.
Une belle journée à tous,
Cédric

Exemple ici :
vendu par : pb ReCommerce FR
expédié par : Amazon

Jour Férié – Avril 2022

Chers lecteurs,

Qui dit jour férié, dit jour de rattrapage de nos brouillons en stock depuis… des mois (voir des années, si, si).
Alors ce n’est pas 1, ni 2 ou 3 tests qu’on a publié mais 12…

Du Blu-ray, de la VOD ou du DVD, nos raccourcis ont le mérite de faire des focus artistiques sur des oeuvres et des sorties.
Des surprises, de l’excellent, du majeur.

Faites vous plaisir.

Profitez. Vivez un maximum de films !
Visionnez, c’est nourrir notre passion qu’est le cinéma.
Une excellente journée à vous.
Cédric, votre 4administrateur dévoué

DVDvision le Mook Mad Max ; Le Retour du Magazine !

What a lovely day ! Le retour du magazine culte du Home-Cinema !

DVDvision revient à l’ère du Blu-ray 4K UHD, sous la forme d’une série de mooks inédits, en édition ultra-limitée, uniquement disponibles en financement participatif sur KissKissBankBank.

N’hésitez pas, parce qu’une passion commune nous anime, Blurayenfrançais soutient DVDvision !

https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/dvdvision

Nostalgie

Chers lecteurs,

Presque 14 ans que BREF existe.

J’ai l’impression qu’un pan complet du web est loin derrière.
Il est loin derrière pour moi le temps des bons plans quotidiens, des achats par parquet de 10, des réceptions de folie, des bugs et des offres à ne savoir plus où donner la tête.

Non, BREF a connu tant de remous. Des passionnés du site, des détracteurs, des copies, des refus, des appuis et des soutiens. Aujourd’hui la fougue d’hier ne laisse place qu’à ma fervente passion pour le cinéma, la rédaction et le partage.
Car Oui, BREF était avant tout un lieu de partages ; de bons prix, de qualités, d’éditions, de sorties…
Mais le passé demeure encore présent.

Je repense à plein de choses, de vécus, des rencontres, des moments…

Je repense à mon petit over blog conçu de bric et de broc.
Je repense à Thierry, journaliste canadien qui a cru en moi, m’a aidé à valoriser mon travail.
Je repense à Laurent, attaché de presse, qui m’avait envoyé une enveloppe à bulles remplie de blu-ray tests ; je ne savais même pas que cela existait…
Je repense à Sylvie, attachée de presse, qui, au téléphone était dubitative de ma sollicitation et qui a travaillé avec moi sur des centaines de sorties…
Je repense au jour où j’ai reçu Indiana Jones et le crâne de cristal, avec son superbe kit presse.
Je repense à la fois où j’ai eu cette chance de tester un téléviseur Philips unique au monde.
Je repense à lorsqu’Amazon m’invitait à ses journées au sommet…
Je repense à l’interview de Said Taghmaoui.
Je repense à l’entretien avec Renny Harlin.
Je repense à Patrick et son fameux pack de publicités de l’écran du fantastique.
Je repense à ma visite chez l’éditeur Emylia.
Je repense à mon petit partenariat avec Christophe, alias Leroidudvd.fr
Je repense à mes petites locations chez dvdfly.fr
Je repense à tous les téléviseurs ou platines Sony que j’ai pu tester.
Je repense à tous les éditeurs, les attachés de presse ou les agences qui m’ont donné cette opportunité de travailler avec eux.
Je repense au forum lors de ses années fastes.
Je repense à tous les commentateurs.
Je repense à ces centaines de Blu-ray que j’ai pu offrir lors des concours.
Je repense aux milliers de Blu-ray que j’ai pu testés.
Je repense à mon partenariat sur une sortie de John Carpenter.

J’aurais des centaines d’anecdotes de vie de directeur de publication d’un site dédié au Blu-ray à raconter.

J’en ai vu des sites, des concepts et des plateformes se fermer, beaucoup de responsables éditoriaux changer de postes.

Alors je suis content de travailler encore avec des vieux de la vieille comme Anne, Aude, Léa, Benjamin, Fantine, Jean Baptiste, Sandrine, Elise, Florence, Blanche Aurore. J’espère que chacun se reconnaitra.
J’en oublie certainement.

BREF a sans doute perdu se sa superbe au fil du temps.
Je sais que BREF aura marqué ma vie à jamais.

Mais tel son fidèle compagnon je n’arrive pas à l’abandonner.
Je ne le souhaite pas non plus.
Il n’empêche que BREF perdure et change, évolue.
De manière surprenante.
J’ai désormais cette soif de découvrir une Å“uvre.
La technique pure m’intéresse moins d’une certaine façon.

Mon envie de promouvoir une Å“uvre s’associe à ces jolies sorties Blu-ray et Ultra HD.
Le temps n’est plus toujours au classique des choses.

Un film ne sort plus forcément ni au cinéma ni en vidéo physique.
BREF s’est donc transformé.

La passion du Blu-ray reste en trame de fond de BREF, évidemment.
Ne pas donner matière à l’ensemble des possibles serait aussi aujourd’hui une erreur.

Parce que BREF ne mourra pas.
Parce que BREF s’adapte(ra) au monde auquel il se confronte.

Longue vie à BREF.

@micalement très chers lecteurs.
Je vous dis à bientôt.
Cédric Duriez, à la tête de BREF depuis presque quatorze sublimes années

Faisons Vivre le Cinéma de Manière Légale !

Tribune de Vincent Paul-Boncour, co-fondateur et directeur de Carlotta Films, suite à l’article intitulé paru dans le Télérama N°3729 qui prône et promeut la piraterie des films

Le 2 juillet 2021

Nous avons découvert et lu avec stupeur un article paru dans le Télérama de mercredi dernier qui prône et promeut la piraterie des films !

Terrible qu’un journal aussi sérieux et de référence comme Télérama (et plein d’autres médias ces derniers temps, comme France Culture, Les Cahiers, Le Monde …) puisse décemment agir de la sorte, de manière complètement décomplexée. Cela serait-il la nouvelle tendance, Covid – post-Covid ?

Je ne souhaite pas citer ni le journaliste responsable de l’article, ni l’espace qui transmet de manière illégale des fichiers de films, auprès de 16 000 abonnés de ce groupe Facebook. Cela serait leur faire trop d’honneur et de publicité.

Néanmoins, on ne peut plus tolérer cette situation sans réagir, face à une attitude maintenant publique, irrespectueuse et interdite, vis-à-vis des créateurs de films, des auteurs, de l’ensemble des professionnels (producteurs, distributeurs, éditeurs, boutiques,
…) et des spectateurs in fine.

Télérama, en portant au pinacle un des malheureusement trop nombreux acteurs de la piraterie des films, en fait la promotion et, par son rôle prescripteur, conseille et oriente ses lecteurs, lectrices à voir des films de manière illégale sur ce site ; détournant par là-même son lectorat des nombreuses manières légales et normales de voir des films (la salle de cinéma, en vidéo, en VoD/SVoD, à la télévision) au profit de manières illicites.

On pourrait débattre sans fin des raisons ou pseudo justifications de la piraterie, par ses défenseurs et participants. Comme l’absence de possibilité de voir tel ou tel film, l’impossibilité d’avoir accès à certaines œuvres, qui justifieraient ces attitudes.

L’histoire du cinéma qui couvre plus de 120 ans maintenant est une matière vivante, avec des films qui sont, deviennent disponibles, dans tel ou tel territoire à l’instant T, mais ne pourraient pas l’être avant ou après. Il faut mettre fin à cette illusion que tout doive / puisse être accessible quelles qu’en soient les conséquences, … quand tant d’œuvres sont (re)découvertes, exhumées, au quotidien par les différents acteurs (salles de cinéma, cinémathèques, festivals, éditeurs vidéo, plateforme VoD, chaînes de télévision).

Évidemment, on nous argumentera que c’est formidable l’actualité du marché de patrimoine, mais qu’elle est « dictée » par les professionnels, mais que « nous le public voulons voir » tel ou tel film, qui n’est pas forcément accessible légalement, etc. Tous ces professionnels, ces passeurs, qui sont des passionnés, ne sont-ils pas également « le public »,

qui sourcent inlassablement les droits des films dans le but, justement, de les montrer à tous, dans les meilleures conditions possibles ?

La piraterie n’est pas nouvelle, elle existerait depuis la « nuit des temps ». Concernant le cinéma, le trafic de copies 16 mm, 35 mm, de VHS copiées, puis de DVD, … maintenant aussi de fichiers. Sans parler des fameux bootlegs dans la musique. Mais auparavant, cela était caché, un peu honteux, en souterrain, en douce … Maintenant, c’est affiché au grand jour, de manière complétement décomplexée, on en parle ouvertement dans les journaux, les radios … Tout cela paraît normal, voire bien, tendance.

Mais où allons-nous ?

Pourquoi ne pas avoir des salles de cinéma qui projetteraient des films sans droits, des éditeurs sortant des films sans en avoir des droits, idem des plateformes VoD et des chaînes de télévision… qui justifieraient la diffusion de films sans en détenir les droits, car leurs spectateurs.trices, audiences souhaiteraient les voir !

Non, heureusement, ce monde n’existe pas. De toutes les façons, cela serait impossible à faire, car interdit et réprimandé dans la foulée.

En revanche, il semblerait que tout ce qu’on vient de décrire, impossible sur tous les autres médias, puisse en revanche bel et bien exister sur Internet !

Évidemment, il y a des pans du cinéma, des films plus ou moins méconnus qui ne sont pas visibles pour des problèmes de droits, d’ayants-droits qui ne souhaitent pas les diffuser, des problèmes de matériels, d’avoir et de trouver les financements pour faire revivre une œuvre,
… Mais tôt ou tard, cela arrive, grâce au travail, encore une fois, des professionnels, dont c’est à la fois la passion et le métier.

Par exemple, depuis des années, par rapport au travail que nous réalisons sur l’œuvre de Barbet Schroeder, nous recherchons à éditer dans une très belle édition vidéo et master restauré un de ses grands films, BARFLY, inédit en Blu-ray/DVD en France. En vain, pour des questions de droits sur ce support. Mais le film est diffusé de temps en temps, à la télévision, dans des festivals, hommages à Barbet (Centre Pompidou, Festival de la Rochelle, etc.), édité dans un certain de nombre d’autres pays en Blu-ray et DVD… Il est donc visible en France, certes pas le plus massivement, mais visible néanmoins. Devrait-il, dès lors, car inédit en vidéo en France, être disponible illégalement sur des sites français ? Non, certainement pas !

L’un des grands arguments de « cette plateforme pirate », outre combler le soi-disant manque de la diffusion et la préservation (préservation de quoi ? de fichiers piratés, volés et peut-être non restaurés, en mauvais état parfois, ou préservation de « rip » de Blu-ray d’éditions du monde entier, d’enregistrements TV ou d’éléments de laboratoire…), cela serait leur approche vertueuse, ne pas partager des films qui existeraient en France sur support physique ou dématérialisé de manière légale. Mais un film peut ne pas être disponible à l’instant T mais dans quelques mois / années suivantes, et aura donc été montré pendant de longs mois, d’années de manière illégale. Et peut-être le travail de certains serait

mis à terre si ce site présentait depuis un moment ces films. Par ailleurs, ce n’est pas parce qu’un titre n’est pas disponible en France, qu’il ne l’est pas ailleurs dans le monde.

Un film a des ayants-droits et du matériel qui lui est propre, il y a les droits matériels et immatériels. Présenter un classique qui ne serait pas édité/distribué en France, mais en Angleterre, aux États-Unis ou ailleurs, en ayant ripé le Blu-ray, la restauration faite par autrui, c’est autant du piratage que de ne pas en respecter les droits. Détourner pour soi- même (et soit disant les autres) le travail, les investissements et la passion mis en œuvre par un ayant-droit, une institution ou une fondation par exemple.

Cela a trop duré, que font l’État, la tutelle du cinéma, le CNC, les différents acteurs de droits d’auteur que sont la SACD, la SACEM, les ayants-droits, l’ALPA ? Les autres distributeurs/éditeurs, les plateformes VoD/SVoD légales, les chaînes de télévision ?

Par quelle impunité une certaine presse qu’on adore pourtant, qu’on soutient et qui nous soutient, peut-elle impunément, consciemment ou inconsciemment, porter aux nues la piraterie, illégale par définition ?

Dans un monde d’après qu’on nous a tant vanté, il serait temps de se poser, et de mettre un terme enfin à tout cela.

Vincent PAUL-BONCOUR CARLOTTA FILMS

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